TL;DR : The Moneytizer, une entreprise à énergie positive
TL;DR : The Moneytizer est une entreprise fondée en 2014 à Boulogne-Billancourt par Augustin Ory, Cyril Clément et Laurent Vaudoré. Son objectif est d’aider les petits et moyens sites web à maximiser leurs revenus publicitaires, avec un chiffre d’affaires de 12 millions d’euros en 2021.
Quelle est l’histoire de The Moneytizer ?
The Moneytizer a été fondée en 2014 à Boulogne-Billancourt par Augustin Ory, Cyril Clément et Laurent Vaudoré. L’entreprise s’est fixé pour objectif d’aider les petits et moyens sites web à maximiser leurs revenus publicitaires. En 2021, The Moneytizer a réalisé un chiffre d’affaires de 12 millions d’euros.
Comment Augustin Ory gère-t-il son entreprise ?
Augustin Ory pratique beaucoup de sport, notamment le tennis, et encourage ses salariés à se dépenser. Il a installé une salle de gym, propose des cours de boxe et de yoga dans les locaux de l’entreprise. Augustin Ory a créé un environnement de travail convivial avec une grande cuisine, un baby-foot et des baies vitrées. Il accueille deux jeunes entreprises dont il est actionnaire pour les aider à grandir.
Quels sont les chiffres clés de The Moneytizer ?
The Moneytizer compte 40 000 sites clients dans le monde et enregistre en moyenne 33 salariés, avec une moyenne d’âge de 27 ans. Son chiffre d’affaires s’est élevé à 12 millions d’euros en 2021, avec 1 million de revenus positifs.
Quels sont les projets d’expansion de The Moneytizer ?
The Moneytizer prévoit l’ouverture d’un bureau à New York avec six salariés et envisage une ouverture au Japon et à Tokyo en janvier. L’entreprise mène des échanges en anglais pour la moitié de ses clients, avec sept langues parlées et une huitième en préparation.
Quelles sont les valeurs et la vision de The Moneytizer ?
L’entreprise The Moneytizer encourage la croissance et le développement des entreprises partenaires. Elle accorde une grande importance à l’énergie positive, à la compétition et à la liberté au sein de l’entreprise. La promotion interne est également valorisée, comme en témoigne l’exemple de Paul Mettetal, passé de stagiaire à directeur des opérations.